Solo Show sélection

2023 NOV/DEC : « Intime conviction »    Montresso* Art Foundation  Marrakech MA

2023 OCT/NOV : « DISTANCES »    Madison Gallery  Solana Beach USA

2022 JUNE/AUGUST : « Sensual & Sexual Dreams »    Madison Gallery  Solana Beach USA

2020 SEPTEMBER : « Etoffes Emois » ArtCan Gallery Marseille Fr

2020 MARCH : « Ligne Bleue » Galerie Marcel Strouk Paris Fr

2020 FEBRUARY : « Ligne Bleue » Kolly Gallery Act3 Zurich CH

2020 JANUARY : « Ligne Bleue » Ehmer Gallery Bruxelles BE

2019 NOVEMBER, DECEMBER : « Ligne Bleue » Kolly Gallery Act1,2 Zurich CH

2019 OCTOBER : « Ligne Bleue » Montresso Art Foundation Marrakech MA

2018 NOVEMBER/JANUARY : « Deep Pola » La Galerie Paris 1839 Hong Kong HK

2018 JUNE : « Pleurer de J.O.I.E » AD Galerie Montpellier Fr

2017 SEPTEMBER : « BLENDING CULTURES »  (duo avec TANC) Galerie Martine Ehmer Bruxelles Belgique

2017 JULY : «  MON DOMICILE CONJUGAL » Galerie Marcel Strouk Rive gauche Paris Fr

2015 OCTOBER : « CAR CRASH » AD Galerie Montpellier Fr

2015 FEBRUARY : « AINSI SOIENT ELLES »  Marrakech Maroc Montresso Art Foundation

2013 SEPTEMBER : “J. O. I. E” AD Galerie Montpellier Fr

2012 SEPTEMBER : “Horses, BullS and GirlX” AD Galerie Béziers Fr

2011 MARCH : « OUTSIDE PARKING » AD Galerie Béziers Fr

2010 SEPTEMBER : Solo Show Galerie CCX Saint Nazaire

2009 OCTOBER : Solo Show Galerie Leslie’s Barning galerie Luxembourg 

2009 AUGUST : Solo Show «galerie Petitjean» Aix en Provence Fr

2009 JUNE : Solo Show Galerie Cri d art Metz Fr

2007 : Solo Show Galerie Edgar Paris Fr

2007 : retrospective Centre culturel Athanor Guerande Fr

2006 : « No title » Galerie Art on the move Naarden Hollande

2006 : “Glycero” Galerie Edgar le Marchand d’art Paris Fr

Group show sélection

2018 JUNE : Round2 Group Exhibition    MIRUS Gallery  Denver USA

2018 FEBRUARY : Art Up   AD Galerie retrospective LILLE 

2016 DECEMBER/JANUARY : Exposition XXL#1 Crespel/Tilt/Fenx/Jonone  Fondation Montresso Marrakech

2015 MARCH : « LA MUSIQUE ADOUCIT LES MOEURS » AD Galerie Montpellier fr

2012 : Galerie ART TO BE Lilles

2011 MAY : 20 ans de La lune en parachute Epinal

2008 : La lune en parachute Epinal

2008 : galerie Cri d’Art Amnéville les thermes

2008 : «galerie Petitjean» Aix en Provence

2005 : Petite madame” Galerie Edgar le Marchand d’art Paris

Art Fair sélection

2018 JUNE : SCOPE Basel Orlinda Lavergne Gallery Basel Suisse

2018 FEBRUARY : Solo Show Retrospective ART UP avec AD Galerie Lilles

2016 : 8eme Avenue AD Galerie Paris

2014 FEBRUARY : Art Up AD Galerie LILLE

2013 NOVEMBER : St art AD galerie Strasbourg

2011 OCTOBER : ART ELYSEE “MES AMIES” AD Galerie Edition monographie Paris 

2010 NOVEMBER : Foire Européenne St art AD galerie

2010 : « Superdesign » Londres avec Peter Klasen Londres

2010 FEBRUARY : Foire européenne AAF Gallery Leslie barning Bruxelles

2009 FEBRUARY : Foire européenne d art contemporain AAF with Edgar Bruxelles

2008 : Foire européenne d art contemporain AAF Galerie Petitjean Londres 

———————————

« Cédrix Crespel peint et dessine la femme. Cédrix Crespel peint et dessine sa femme. Cédrix Crespel peint des signes de sa femme. Cédrix Crespel, des signes, sa femme. Cédrix Crespel signe sa femme. Sa femme signe Crespel. La femme, signe Crespel…

Ce que ces mots, maladroitement, mobilisent, a pris forme au cours de deux décennies depraxis Crespel. Progressivement, par essais, du statique au dynamique. Une histoire de mouvement. Un jeu de digressions, de nuances, de différances. Le travail de Crespel, c’est donc cela: une manipulation constante du peindre pour une émancipation des carcans dogmatiques. Ici, pas d’école, pas de filiation, pas de genre, pas de lecture verticale où le spectateur, relégué au bas d’une hiérarchie revancharde, devrait humblement troquer des traits pour des lettres, des formes pour des palabres, dans l’espoir d’atteindre une idée suprême que l’artiste dans son goût de la différence et de l’inaccessible aurait travesti sous des codes représentatifs dont lui seul posséderait les clés. Non, Crespel, ce ne sont pas les fantasmes du Me, I and Myself. C’est l’amour du langage comme outil et comme espace, où l’ère et le temps constituent un point de départ mais jamais un absolu ou une fin. Bref, si vous aimez les possibles et redoutez les vérités, vous adorerez CRESPEL. »

Guillaume Rivera   Auteur, critique et cinéaste

Read more

  ———————————-

« La peinture de Cédrix CRESPEL est une odyssée sensuelle. L’artiste y décline des femmes indépendantes et passionnées qui se jouent des rôles que la société veut bien leur accorder. Il est celui, qui nous apprendra, de gré ou de force, à voir, à nous défaire de nos habitudes pour entrer dans un univers autre, où ce qui habituellement est invisible devient visible. Cédrix CRESPEL peint son obsession pour les jambes et les dessous féminins. Dans sa peinture, tout est dit ? de la tension du désir qui le parcourt, des obsessions qui le hantent et surtout du talent à les suggérer.

Frondeuses, rebelles, espiègles, les femmes de Cédrix CRESPEL réinventent les codes de l’amour et dressent les portraits de femmes éminemment modernes..

Pourtant, au cœur de sa création, une histoire d’amour audacieuse et impertinente – celle très personnelle de l’artiste et de sa femme. Tels les amours de Dali et Gala, Cédrix CRESPEL rend hommage depuis toujours à sa muse… »

Estelle Guilié   Directrice Artistique « Fondation Montresso » Maroc 

 ———————————-

  « Où sont les femmes ? Elles sont sur les toiles de Cédrix Crespel, habillées de couleurs chatoyantes, belles de jour comme de nuit.

Les Orientales de Cedrix échappent aux clichés. Normal : elles sont peintes avec l’amour d’un artiste qui refuse de choisir entre la froideur de l’ordinateur et l’arbitraire du trait de spray can.

Avec Cedrix, le graff se fait sensuel, la femme se voile de reflets pop, s’abandonne à la sensualité multicolore en gardant son mystère.

Femmes dominantes mais fragiles, femmes oxymores, femmes dont le pouvoir est dans le regard, l’attitude, le style. Des femmes Bazooka, des femmes au regard transperçant l’œil de celui qui les admirent.

L’exotisme de Cedrix vient de loin. Le sexe est là, habillé d’une sensualité qui n’a jamais besoin de s’imposer. Glycéro mais pas gynéco, le sexe selon Crespel fascine le spectateur qui s’y plonge.

Le peintre invente un monde parallèle dans lequel ses amazones se promènent en liberté. Dans une lumière éclatante, leur soleil étant ici remplacé par la palette de l’artiste, l’homme qui aime les femmes leur rend hommage.

Regard en gros plan, pose provocante, jambes écartées, yeux fermés d’après l’orgasme ou grand ouvert de l’amour, les dix femmes de Cedrix Crespel nous invitent à entrer dans son monde. À traverser le miroir et à pénétrer dans ses tableaux. Pour célébrer l’éternelle féminité de l’Orient, celle du désert et du soleil, du passé et du futur. »

Olivier Cachin, Ecrivain, journaliste

———————————-

« Les draps des toiles de Cedrix Crespel portent en filigrane, depuis toujours, un motif fondamental : l’érotisme. La volupté, furieusement contenue par les uns, hypocritement ignorée par les autres, tolérée sous conditions, déclenchée avec certaines recettes, occupe une place essentielle dans la peinture au point que l’art parfois n’en est que le prétexte plus ou moins avoué : elle est chez lui magistralement traitée sans complexes.

Par ses œuvres le peintre assouvit des fantasmes, des fantaisies, des caprices, des frasques, des excentricités, des histoires, qu’il nous donne en partage de façon spectaculaire. Si de manière romantique ou trivial, il aime toutes ses modèles qu’il célèbre comme des Muses, Maman ou Putain, Madone ou Madeleine, Marie ou Maryline, maîtresse ou esclave… »

Renaud Faroux, Historien d’art

———————————-

   « Ses compositions évoquent le plan cinématographique, la lumière d’un David Lynch. Impression glacée confirmée par les à-plats parfaits, à la Glycéro, mais contredite avec ambiguïté par le travail énergisant des couleurs. L’inattendu, l’impression de menace qui rode, trouve son origine dans la présence incongrue des taches et dans la mise en scène de corps résignés à la traque dont ils sont l’objet. Car « sa » femme semble préparée calmement au combat. Soumise au regard, elle ne l’est pas dans l’absolu et passe sans complexe du statut de proie à celui de maîtresse. Dans cet univers porno-graphique, elle reste une déesse inaccessible. Brillante mais intouchable…

Résolument contemporaine, l’ensemble de son oeuvre séduit par la richesse de son analyse et de son énergie. »

Cecile Dufay Fondatrice de la Galerie « edgar Le Marchand D’Art »

———————————-

 

C

Né 1974 vit et travaille en France.

Representé par : Montresso Art Foundation Maroc / Madison gallery US

La peinture de Cédrix Crespel est éminemment liée à sa vie, à celle d’un homme dont le langage amoureux et le rapport au sensuel ont sans cesse été questionnés, décomposés. L’artiste décline dans ses toiles différentes représentations de la féminité et réinvente les codes du désir.

Sous les volutes, les vapeurs et les voiles du visible, les tableaux de Cédrix Crespel dissimulent une figuration secrète. Un corps, ses détails, une sensualité: Tiphaine, évidemment. Point d’esclandres, de déclarations tonitruantes. A leur apogée, son amour et son désir préfèrent la pudeur de l’intime. Et c’est donc dans un dialogue de silences et de subtilités qu’il immortalise la matérialité de la chair et l’émotion vive qui l’accompagne.

Depuis 2016 son axe de travail s’articule autour de la « correspondance », de « la nouvelle Entité » que génère le couple dans l’art et enfin l’iteration et la sérialité de l’image.

Born 1974 live and work France

Cedrix Crespel‘s painting is eminently linked to his life, to that of a man whose language of love and relationship to the sensual have been constantly questioned and broken down. In his paintings, the artist presents different representations of femininity and reinvents the codes of desire.

Under the volutes, vapours and veils of the visible, Cédrix Crespel’s paintings conceal a secret figuration. A body, its details, a sensuality: Tiphaine, obviously. There are no thunderous declarations. At their peak, her love and desire prefer the modesty of the intimate. And so it is in a dialogue of silences and subtleties that he immortalizes the materiality of the flesh and the lively emotion that accompanies it.

Since 2016 its work axis is structured around the « correspondence », « the new Entity » that the couple generates in art and finally the iteration and seriality of the image.